MESSAGE DE IAN RISELEY À L'OCCASION DU CENTENAIRE DE L'ARMISTICE 11 Nov 2018
Rotary en français
11 novembre, 09:00
Aujourd'hui, nous célébrons l'Armistice de 1918. Les Australiens et les Néo-Zélandais commémorent tous les ans la journée de l'ANZAC le 25 avril, en mémoire des soldats morts dans la Somme pendant la Première Guerre mondiale. À cette occasion, le président 2017/2018 du #Rotary, l’Australien Ian Riseley, s’est rendu en France pour leur rendre hommage. Il nous a parlé de son expérience :
« J'ai eu l'honneur d'être invité en Picardie, dans le nord de la France, à l'occasion de la journée de l'ANZAC le 25 avril 2018. C’était le centenaire d’une bataille décisive de la Première Guerre mondiale. Les gouverneurs de districts français du Rotary ont compris l'importance d'un tel événement pour un président du Rotary International originaire d'Australie et ils ont gentiment organisé ma visite.
La ville d'Amiens était décorée des drapeaux des pays alliés dont les troupes se sont battues il y a 100 ans. L'accueil chaleureux que nous avons reçu partout en dit long sur la relation solide établie entre l'Australie et la France en ces temps difficiles.
Il est regrettable qu’il ait fallu tant de vies perdues pour créer ce lien d’affection.
C’est dans la ville de Villers-Bretonneux que des écoles ont été construites après la guerre grâce à des fonds récoltés principalement par des écoliers australiens ; et le panneau affiché dans une de ces écoles et intitulé N’oubliez pas l’Australie était particulièrement émouvant.
En cette matinée froide et humide de l’ANZAC, alors que je déposais une couronne au nom du Rotary sur le Mémorial national australien à Villers-Bretonneux, je ne pouvais m'empêcher de me demander si tous les conflits armés que nous voyons continuellement dans le monde sont nécessaires ou justifiables.
Les programmes du Rotary dans les domaines de la paix ainsi que de la prévention et de la résolution des conflits constituent un investissement essentiel pour le bien-être des populations du monde entier et ils méritent notre soutien continu. » - Ian Riseley.
